«Pas de traitement médicamenteux systématique de l’hypertension artérielle au cours d’un séjour en soins hospitaliers aigus» ainsi que «Pas d’antibiothérapie avec une augmentation des marqueurs d’inflammation tels que la protéine C-réactive (CRP) ou la procalcitonine (PCT) pour seule indication» sont deux des cinq recommandations que vient de publier la SSMIG pour la MIG hospitalière.
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L’association « smarter medicine – Choosing Wisely Switzerland » lutte contre la surmédicalisation et les soins inappropriés en Suisse. Afin de mieux en comprendre les causes, l’organisation a mis sur pied en 2021 son propre instrument d’encouragement de projets de recherche. Les subsides d’encouragement, dont c’est la première attribution, sont alloués à un projet portant sur le dosage et la prescription inappropriée de vitamine D aux patients d’un certain âge de même qu’à un projet sur l’impact d’une fiche d’information contre la prescription inappropriée d’antibiotiques. Les projets de recherche ont pour but de lutter contre la surmédicalisation ou les soins inappropriés.
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Le thème de la durabilité est une cause chère au corps médical. Cela s’est notamment remarqué par le grand intérêt suscité lors de la dernière assemblée des délégués ordinaire de la SSMIG. Les aspects de la durabilité sont nombreux, ce qui en fait un défi de taille pour le développement de la médecine.
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Au plus tard à partir de 2022, les médecins exerçant dans le domaine ambulatoire devront mettre en œuvre des activités en faveur de la qualité et les présenter de ­façon transparente. C’est ce que prévoit la révision de la Loi fédérale sur l’assurance-maladie (LAMal) concernant le renforcement de la qualité et de l’économicité, qui a été adoptée par le Parlement. Dans le cadre d’un projet pilote de la FMH et des assureurs, la commission de qualité de la SSMIG et les représentants de mfe ont élaboré quatre mesures de qualité, qui seront mises en œuvre et déclarées à titre expérimental dès 2020.
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Lars Clarfeld, Geschäftsführer von smarter medicine und SGAIM-Generalsekretär, und Daniel Scheidegger, Vorstandsmitglied von smarter medicine und Präsident Schweizerische Akademie für Medizinische Wissenschaften (SAMW), äussern sich in einem Radio-Beitrag über die Über- und Fehlbehandlung in der Medizin (de 10:02).
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L'article publié dans le European Journal of Internal Medicine examine les défis de la mise en œuvre du principe "Less is More".
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Du 14 au 17 novembre, Heidi.news était présent au Salon suisse de la santé, organisé cette année à Martigny, en Valais.
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Dans le cadre du Salon Planète Santé à Martigny, un débat sur le thème "smarter medicine: moins, c'est parfois mieux" a eu lieu le dimanche 17 novembre 2019. Près de 70 visiteurs ont discuté du principe selon lequel un traitement ne doit être administré que s'il apporte de réels bénéfices au patient.   Lors de cet événement, des médecins, les organisations de patients et de consommateurs ont débattu avec le public présent des mesures permettant d'éviter des soins inappropriés et la surmédicalisation de la médecine – pour des soins médicaux durables et de qualité. En savoir plus
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Lors de la conférence «Comment promouvoir la smarter medicine en Suisse?» environ 150 personnes ont suivi les conférences. Parmi les orateurs étaient Thomas Christen (vice-directeur de l'Office fédéral de la santé publique), Jürg Schlup (président FMH), Claudia Galli (présidente fsas), Matthias Schwenkglenks, (PNR 74) et Wendy Levinson, (présidente de Choosing Wisely Canada). En outre, les participants profitent également de l'occasion pour discuter de manière intensive et parfois controversée des approches de l'initiative et de la mise en œuvre de la campagne dans la vie quotidienne. Les présentations de la conférence peuvent être téléchargées ici.
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Plus que la moitié de population en Suisse a l’impression qu’elle-même ou des personnes de leur entourage ont reçu un traitement inutile. Cela montre une enquête représentative de l’association smarter medicine – Choosing Wisely Switzerland effectuée cet été. Des études indiquent en plus que les traitements non indiqués médicalement sont à l’origine de 20 à 30% des dépenses de santé. Début octobre smarter medicine – Choosing Wisely Switzerland lance une campagne qui vise à mieux faire comprendre le thème de la surmédicalisation et des soins inappropriés et à le rendre plus accessible pour le grand public.
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